(A/C Vero Hermann SAMBIN)
Des lèvres jusqu'aux cils
Irrésistiblement,
Te voilà qui remontes
A l’assaut de la pente
En une courbe gracile
Brodée par le silence
Habilement tu m’aimantes
Et m’entraînes dans ta danse
Sourire, ravi contre mon gré
Sourire, ravie de te retrouver
Sourire, un jour, une éternité
Sourire d'amours tissées
A ton fil qui s'étire
Je m'accroche et j’oublie
Les plis creusés depuis
Ma fossette d’enfant
Pour ce que tu me coûtes,
Oui sourire, tu t’en doutes,
J’aimerais te garder,
Mais au risque de me tromper,
Tu préfères la liberté
Tu es parti sourire,
Fleurir d’autres visages
Mais le mien garde encore
Les traces de ton passage